NOM : Collins
PRÉNOM(S) : Drake Benjamin
ÂGE : vingt-cinq ans.
NAISSANCE : Il est né en Arkansas, dans une petite ville tranquille qu'il ose à peine nommer.Un certain dimanche d'avril, le vingt-trois précisément.
ORIGINES : il est mi-australien (de son père) , mi américain ( de sa mère )
STATUT CIVIL : célibataire. Et compte bien le rester.
ÉTUDES/JOB : Il travaille comme barman pour boucler ses fins de mois.
TRAITS DE CARACTÈRE : Drake a une personnalité à multiples facettes.Les gens ont du mal à aimer ce dernier parce qu'il a tant de défauts qu'on ne voit même plus ses belles qualités. Arrogant, prétentieux, agressif, possessif, n'a pas froid aux yeux, extrêmement jaloux, a une bien grande gueule, semble égocentrique, trop franc, dragueur sans fin, adoooore se bagarrer bref, je vous épargne la longue liste et je vais m'arrêter ici. Par contre, pour une maigre poignée de civils, Drake est tout à fait différent. C'est un jeune homme au grand coeur, protecteur, attentionné, extrêment doux, ne lésine pas sur l'affection, tactile, fait preuve de maturité, sait réfléchir, rusé, drôle, charmant, loquace, toujours présent quand il le faut, il est rassurant, il est tel un roc, on le veut tous comme meilleur ami, enfin si vous aimez les têtes de mule comme lui!
GROUPE : Are you kidding me?
AVATAR : l'ex-danseur nu le plus hot de la planète : channing tatum.

comment as-tu découvert l'histoire du massacre de stanley hall ? tout le monde en parle dans cette fichue ville! Alors c'est assez évident que ce fut de bouche à oreille... Je ne suis natif d'ici vous savez, et je n'ai pas étudié à l'université du comté alors je n'aurais pu savoir autrement que par la bouche des habitants d'ici! Oh si vous auriez su ma réaction, vous auriez pissez de rire. Malheureusement vous n'y étiez point, bah meilleur chance la prochaine fois heh!

penses-tu que ce tragique événement a réellement eu lieu ? non. je ne suis pas de ceux qui croient aux trucs paranormaux. Dire qu'un massacre a eu lieu il y a cinquante ans ça, c'est ce que j'apelle quelque chose de paranormal... et je n'y crois pas. Je suis celui qui vous nargue avec ironie, croyant avec plaisir que vous halluciner lorsque vous croyez qu'une pareille chose s'est produite... ces choses-là ne surviennent que dans les grandes villes, enfin je crois...

quel est la légende urbaine qui te fait le plus flipper ? Je ne peux pas vraiment dire que j'ai déjà flippé à l'écoute d'une des nombreuuuuses légendes urbaines créées pour faire peur aux jeunes gosses. Non , en toute honnêteté je crois que je n'en ai aucunement peur. Puisque je suis le dernier à croire à ces balivernes. Bloody Mary? Naaaan impossible que cela se produise dans la vraie vie. À mon humble avis, ce sont des sottises et ça ne me fait pas flipper. Voilà C'est dit.

001. PRÉNOM Amélie △ 002. PSEUDO Gorgeousmali △ 003. ÂGE 24 ans. △ 004. PAYS Canada △ 005. PRÉSENCE ...5/7j △ 006. J'AI CONNU LE FORUM PAR bazzart △ 007. CE QUE J'EN PENSE ce qu'il est somptueux, le contexte est bien écrit. Tout est propice à la ponte de jolis rps △ 008. DERNIER MOT écrire ici

« Drake, quand vas-tu enfin nous ramener une récompense hein? Suis l'exemple de Daniel, regarde ce qu'il a rapporté : la coupe de football régional! » du haut de nos huit ans, je me rappelais très bien avoir lever les yeux au ciel, implorant que l'on cesse ce châtiment. Je suis tellement navré frérot, mais à l'époque, tu m'en faisais vivre de toutes les couleurs. Tout le monde n'avait de yeux que pour toi, tu étais le centre même de l'attention, tout le monde te vénérait, flattait ton ego déjà surdimensionné à notre âge. Oui, déjà, à cet époque, je dois avouer que je te haïssais. Pas comme on peut haïr n'importe qui, je haïssais ta fierté, tes talents, bref je haïssais tout ce que moi je n'étais pas. Papa ne cessait de me faire remarquer à quel point j'avais du chemin à faire avant de me rendre à ton niveau. Et il avait raison, certes, mais bon sang que ce fut chiant de vivre dans ton ombre jour après jour alors que j'avais peine à avaler le fait que maman et papa ne soient plus ensembles. Oh, je sais, je t'entends me dire de là-haut que toi aussi tu avais du mal à encaisser le coup. Mais tu étais Daniel Collins après tout, tu pouvais tout surmonter, les gens t'adoraient. « Je ne sais pas papa, peut-être quand les poules auront des dents, ou dans la semaine des quatre jeudi, je m'excuse TANT de ne pas être comme lui » sifflais-je d'un ton abrupt. J'en avais marre ce jour-là, marre d'être moi, et d'avoir été ta copie ratée en tous points. Quand on y pense, j'étais pas le plus sportif, ni le plus intello, je me situais dans la norme, je me débrouillais dans tout, mais je ne me démarquais jamais de tes exploits, jamais. Ce jour-là, j'avais claqué la porte de notre chambre. Toi tu étais au rez-de-chaussé, tu matais notre émission préférée. Papa n'avait pas compris, il ne comprenait jamais rien. Je ne sais pas si c'était le chagrin ou le fait que je ne semblais pas vraiment exister dans cette famille mais il n'y avait vraiment rien à faire. Ça faisait quoi, quatre ans que nous n'étions plus en Arkansas? Quatre ans qu'on ne voyait plus notre mère? Papa n'avait pas cessé de nous répéter « Vous êtes cent fois mieux qu'avec votre folle de mère croyez-moi les gars.. » Pas vrai? Mais si c'est vrai Daniel. Souviens-toi, c'est même lui qui a demandé le divorce car notre mère était ivrogne, et inapte à s'occuper de nous. C'est en trouvant un boulot à Melbourne qu'il décida qu'on allait y vivre tous les trois ensemble, loin d'elle loin de notre calvaire. Il n'avait peut-être pas tord tu sais, mais je me suis toujours demandé comment elle allait, si elle avait finalement arrêter de boire, ce genre de choses tu sais? Pas toi?


Puis il y a eu Lullaby. Oh Lullaby.. Encore un sujet douloureux, nous concernant sans le vouloir toi et moi frangin... Il a fallut que tu me la présentes une seule fois pour que j'en tombe follement amoureux. Je m'en souviens comme si c'était hier. Elle avait un de ses sourires parfaits, et les cheveux d'un blond de blé légèrement bouclés. Un fin baume à lèvre de couleur rose et une aura invitante en tout point. Ça me prouvait, encore une fois, que tu avais tout , et que moi, je n'avais rien. Mais Lullaby m'a laissé entré dans sa vie.. Elle avait bien voulu de moi, et je n'avais jamais vraiment su pourquoi. Nous étions devenus amis. Peut-être parce que nous étions identiques physiquement? Avec nous, elle avait le meilleur des deux mondes : un mec barbant, et l'autre fantastique.Cependant, avec Lully, j'étais quelqu'un d'autre. Je ne draguais plus, je ne mangeais plus, je ne dormais plus. Mes pensées lui étaient toutes destinées. J'en devenais complètement fou. J'étais en train de le devenir du moins. Et puis un bon soir, alors que tu étais parti jouer avec tes meilleurs amis au foot, Lully est venu chez nous. Je n'ai pu me résoudre de ne pas la toucher. De ne pas l'embrasser, de ne pas caresser son entre-jambe, de lui faire l'amour... C'était comme un rêve.. devenu réalité! Mais la réalité, telle qu'elle était était bien cruelle qu'elle ne le laissait paraitre. Je me sentis pathétique, mais je me sentis aussi vivant. « Drake, il ne faut pas le dire à Daniel d'accord. Il ne s'est rien est passé, compris.. Il ne s'est jamais rien passé. C'est Daniel que j'aime, pas toi... comprends moi bien! » j'avais acquiescé dans le silence. Non pas pour te protéger toi, Daniel. Mais pour la soulager, elle. Et puis quelques années plus tard, tu t'es mis tout beau, tout joli. Tu as même préparer le souper, tâche qui en général, m'était assigné. Tu nous as invité moi et mon père à nous joindre à vous deux, qui étaient déjà tout sourire. J'avais senti le truc à des kilomètres à la ronde. Et je me sentais déjà d'une humeur massacrante... « On va se marier! » avais-tu soufflé, ta poitrine gonflée de fierté en présentant la main de Lully , une bague sertie de diamants bruts au doigt. J'avais du mal à déglutir , mon coeur se meurtrissait. Vous n'aviez que dix-neuf ans, putain. Vous aviez toute une vie pour vous connaitre, pourquoi avoir choisi de sceller votre union par un fichu mariage? Pourquoi aviez-vous gâcher ma vie? Qu'avais-je fait à ce saleté de Dieu là-haut pour que mon coeur saigne à ce point? « Toutes mes félicitations » avais-je soufflé à contre-coeur. Je n'avais même pas fini le repas ce soir-là, j'étais parti dehors et je n'étais revenu qu'aux petites heures du matin complètement ivre. Je tâchais d'oublier, d'oublier à quel point ma vie avait été misérable à l'instant même où tu me l'avais présenté...

Oh mon dieu, si tu l'avais regardé comme moi je l'ai regardé Daniel, alors qu'elle était vêtue de sa robe de mariée. Elle était si belle, si parfaite. Comme une princesse disney, une princesse dont tous les hommes rêvent de marier un jour ou l'autre. Je me tenais derrière elle, à la contempler alors que ses plus proches amies s'affairaient à la poudrer d'un écrin scintillant qui lui donnait un teint de pêche. Puis elle s'était retournée, tout sourire, en priant ses amies de la laisser seule avec moi. Ne sachant quoi dire pour bien commencer notre conversation, je n'avais pas vraiment réfléchi... « Je t'aime » C'est bredouille qu'elle se secoua la tête d'un air incrédule. Pourtant c'était vrai. Je l'aimais dès que je l'ai vu, au creux de tes bras. J'aimais son sourire, sa chevelure de blé, ses magnifiques yeux en amande, son rire, ses soupirs, l'odeur de son eau de Cologne. J'avais véritablement envie de crever quand je passais quelques jours sans la voir et toi, oui toi, tu ne l'as jamais su! J'avais gardé ça pour moi pendant tellement, tellement longtemps. Je me fichais des conséquences de ces paroles sur elle, je voulais juste le lui dire, le lui faire comprendre une bonne fois que moi aussi j'existais, derrière ton ombre frangin! « Tu… Tu ne peux pas dire une chose pareille Drake. Dégage ! » mais je ne bronchai pas d'un poil. J'étais resté immobile. Je me sentais pas particulièrement mal de lui avoir avouer ma flamme. Mais je savais que je n'avais pas vraiment choisi le bon moment et sa colère m'avait frappé de plein fouet ce jour-là.« Et pourquoi ? Je t’ai toujours aimé Lullaby, tu serais tellement plus heureuse avec moi. Tu aurais tout ce que tu veux, je serais toujours là pour toi, on pourrait vraiment être heureux tous les deux. » avais-je déclarer tout doucement, d'un air calme et serein. Je me libérais le coeur, je me rappelle si bien qu'à cet instant, ça avait été un pur soulagement. « Tais-toi ! Je vais me marier ! Je vais me marier avec ton frère… Et je l’aime. Je suis folle de lui. Tu ne peux pas tout gâcher… Je suis désolée. » Vois comme elle t'aimait, vois comme elle te préférait à moi. Comme tous les autres d'ailleurs! Ça ne t'était jamais venu à l'esprit de me laisser une petite place dans la vie, je te voyais comme un égoiste, je t'ai d'ailleurs toujours vu ainsi. Tu m'avais pris la seule chose à laquelle je pourrais crever pour : Lullaby. Ce mariage signait le début d'un cauchemar sans fin, et toi tu t'en foutais, tu ne pouvais voir ma peine, ma rage, ma haine.... Tu te contentais d'être Daniel Collins.. et Lullaby allait devenir une Collins à son tour, seulement j'avais l'impression qu'elle se retrouvait avec le mauvais frère. Mias le mariage eut quand même lieu, et vous sembliez très heureux... La suite, tout le monde la connait. Tu es mort. Mort pour notre pays. Mort avec honneur, avec fierté. Tu ne sais pas à quel point tu nous manques à moi et à Lullaby, à quel point ta place dans nos vies étaient si immense qu'il nous est tout bonnement impossible de te remplacer. Une dernière chose, frérot...Une petite demande spéciale pour toi. Donne-moi la force de veiller sur Lully, frangin. Elle est tout ce qui me reste, à part Papa bien entendu. Elle est partie en Amérique, loin d'ici... je dois la retrouver! je suis d'ailleurs déjà en route ... aide-moi frangin, aide-moi de là-haut. Fais ça pour moi, toi qui a toujours eu tout rien que pour toi, aide-moi à la retrouver. Je t'aime Daniel, je t'adorerai toujours tu le sais bien, mon frère jumeau, mon âme. Repose en paix.