NOM : von porter.
PRÉNOM(S) : flynn kit alexander.
ÂGE : vingt-trois ans.
NAISSANCE : le cinq mai à manhattan.
ORIGINES : américaines.
STATUT CIVIL : célibataire.
ÉTUDES/JOB : études de médecine.
TRAITS DE CARACTÈRE : libertin, fêtard, jem'enfoutiste, caractériel, alcoolique, séducteur, manipulateur, addictif, coureur de jupons, drôle, intelligent, maniaque, feignant.
GROUPE : are you kidding me ?
AVATAR : hayden christensen.

comment as-tu découvert l'histoire du massacre de stanley hall ? Comment j’ai eu connaissance de cette légende ? Il me semble que c’était durant une petite soirée posée, j’étais avec quelques amis de la fac, environ un mois après la rentrée. Je m’étais bien intégré et comme j’aimais bien être le centre d’attention du monde, j’organisais souvent des petites soirées, qui finissaient généralement complètement déjantées ! Bizarrement ce soir-là, ce ne fut pas le cas ! Je n’en avais jamais rien eu à faire des prospectus sur les universités, alors c’est pas non plus mon genre de faire des recherches dessus avant de les intégrer. « N’empêche, ça fout vraiment les jetons, cette histoire de massacre ! ». Concentré sur mes cartes, j’avais relevé la tête, lentement, vers mon ami. A mon regard, il voyait bien que je ne savais pas du tout de quoi il parlait. Et j’ai tout appris. Cette histoire de cris à minuit et de personnes qui frappent aux portes. On aurait pu se croire dans un scénario de film d’horreur un peu, car toute cette histoire était tragiquement simple et pourrait arriver n’importe où. J’avais décidé de ne pas relever, tout cette histoire me semblait complètement impossible.

penses-tu que ce tragique événement a réellement eu lieu ?Franchement, toute cette histoire m’a l’air sans queue ni tête ; s’il y avait vraiment eu tous ces morts, ne seraient-on pas au courant ? N’y aurait-il pas de mémorial dans l’université ? Je ne suis pas le genre de personne qui croit tout ce qu’on lui dit du premier coup et vraiment, si toutes ces personnes superstitieuses me voulaient de leur côté, il leur faut vraiment plus qu’une simple légende urbaine ! Mais ça pourrait être intéressant, pourquoi ne pas faire de bonnes blagues aux premières années, histoire de s’amuser un peu ?

quel est la légende urbaine qui tu fais le plus flippé ? J’aime pas trop étaler ce genre de truc mais ouais, y en a une qui me fait bien flipper ! En même temps, je crois que c’est de la faute de mon frère ainé et de ses potes qui adoraient me martyriser lorsque j’étais enfant. Bref, c’est une histoire d’un fou, sans jambe qui se libère de prison et qui va dans une maison ou des enfants sont restés seuls. Ça finit en véritable carnage pour le coup ! Mais bon, ça je le garde pour moi, je l’ai assez entendue durant mon enfance !

001. PRÉNOM • △ 002. PSEUDO ARCHITECTURE △ 003. ÂGE 19 ans △ 004. PAYS France △ 005. PRÉSENCE 7/7j △ 006. J'AI CONNU LE FORUM PAR PRD - Beverly △ 007. CE QUE J'EN PENSE J'adore le contexte, je trouve ça vraiment original, sans que ça devienne farfelu ! J'aime bien le design aussi, mais ça manque un peu de couleurs ! △ 008. DERNIER MOT

Mai 2008.

Une dernière cigarette avant de me faire cuisiner, et pas par une fille, pour une fois. Non, en réalité, celui qui allait accaparer – inutilement – mon temps, cette fois, était mon père. Dans certaines familles, les relations pères-fils paraissent parfois fusionnelles, mais ce n’est pas du tout le cas chez moi. J’ai hérité de son sens de l’humour décalé et de l’arrogance qui m’a valu de si nombreuses heures de colles et mises à pied. Personne, dans ma famille, n’était surpris que j’entre à l’université de Clemson ; parce que les trois quart d’entre eux étaient persuadés que je devais tout ça à mes performances scolaires. Quelle blague. J’ai une immense fortune qui dort sous les doigts de mes parents et je vais m’embêter à apprendre et réfléchir plus que nécessaire ? Je ne crois pas, non. Et mon père l’avait bien compris ; j’en avais déduit le ton de la soirée, rien qu’au bruit qu’avait fait la porte de la maison lorsqu’il était rentré. Il attrapa la cigarette de mes lèvres et l’envoya au sol. « Pourquoi ! Pourquoi est-ce que je suis toujours obligé de passer derrière toi ? ». Je n’avais rien à répondre, parce qu’au final, je m’en fichais presque. Je savais que j’aurai tout, toute ma vie, donc pourquoi se fatiguer lorsqu’on sait que tout nous tombe dans les mains en un claquement de doigts ? Malgré moi, j’affichais un petit sourire narquois et il n’avait rien à rajouter, car il savait bien qu’il perdait son temps. Il me plaqua une enveloppe contre le torse, que je saisis alors et partit, certainement à l’étage dans son bureau. « L’université de Clemson a le plaisir … ». Qu’est-ce que je disais ?

Octobre 2008

« Yoooow ! Faut que j’te parle ! » Je ne l’avais même pas vu arriver. Je marchais dans les couloirs de l’université, sans me retenir de reluquer toutes ces paires de fesses qui appartenaient à une jolie brochette de Sandra-Clara-Samantha ; sans savoir où j’allais vraiment ! En fait je pense que j’allais où les jolies filles allaient, comme toujours. Dan, un gars de deux ou trois ans de plus que moi m’avait alors accosté dans le couloir. Je ne le connaissais pas, mais lui, apparemment, semblait me connaitre. Je savais que mon arrivée dans l’université avait fait du bruit, car j’avais déjà ma réputation de petit agitateur troubleur de cours – et même si je me refusais à l’avouer : j’adorais ça ! Il m’avait alors entrainé dans une salle complètement vide, après vérification. « Ohla, j’t’ai déjà dit que les trucs entre hommes m’intéressent pas ! » ; j’avais fait un tour sur moi-même afin de regagner la porte, mais il s’était une nouvelle fois agrippé à mon épaule. « Kit – je peux t’appeler Kit ? – tous les étudiants de premières années ont déjà fait leurs vœux concernant les confréries et je suis persuadé que tu le sais. Faut vraiment que tu te décides maintenant ! ». Il me regardait avec des yeux vraiment manipulateur, presque comme si je lui faisais pitié. Je retirai sa main de mon épaule, du bout des doigts « Ecoute mon grand, de un tu ne m’appelles pas Kit et de deux si c’est réellement un problème, je rejoindrai la première confrérie qui me permettra de poser mes mains sur trois paires de fesses différentes toutes les semaines ! Compris ? ». Avant qu’il ne dise un mot, j’étais retourné à la porte de la classe et y étais ressorti, j’avais envie d’être tranquille et de me trouver un plan sympa pour la soirée, comme accompagner une jolie jeune femme jusqu’au paradis. Mais mes plans allaient vite changer et je le compris lorsque j’entendis Dan derrière moi : « Tasha ! Alessandra ! Vous venez bien à la soirée des Gamma, ce soir ? ». Deux des trois canons que je reluquais tout à l’heure se tenaient à environ un mètre de la classe où je me trouvais. Lorsque l’une d’entre elle répondit avec un accent on ne peut plus slave, je me retournais vers Dan avec un grand sourire « Souhaite-moi bienvenue chez les Gamma ! ».

Janvier 2009

Je ramenais tous les jetons vers moi ; ce soir, j’avais eu de la chance, une chance inouïe même, car j’avais du empocher au moi 500 dollars et même si l’argent ne me manque pas, j’en connais très bien la valeur. Les autres me regardaient avec des yeux presque malheureux, comme si je venais de leur arracher une dent. « Et c’est les Gamma qui remportent la partie ! ». Dan avait servi d’arbitre pour cette partie de poker et Dieu sait qu’il n’y a qu’à Clemson qu’on a besoin d’un arbitre pour ce type de jeu. L’argent attire et les autres joueurs sont toujours rassurés quand quelqu’un veille ! Je tapais dans sa main, alors qu’il me tendait une pinte de bière. « Tu leur as mis la pâtée mon gars ! Je savais pas que t’étais doué à ce point ! » Je ne pouvais m’empêcher de rigoler, et j’approchais discrètement son oreille de ma bouche « En réalité, tout ça n’est que la partie visible du gain ! ». Je soulevais légèrement ma chemise et le laissait observer les billets que j’avais subtilement dissimulés, parmi mes vêtements. La fille qui m’accompagnait – et dont je ne me souvenais plus le nom – se collait déjà moi. « Franchement, je ne me suis jamais laissée tenter par un première année mais je crois qu’avec toi … je pourrais faire une exception ». Sa main glissait le long de mon épaule de manière significative. Alors que je me levais de la table et que le reste des Gamma chantait l’hymne de fortune de notre sororité, je posais une de mes mains sur la taille de ma partenaire. « Et bien je crois que cette exception est bien partie pour durer toute la nuit ! ». C’était sur des cris de joie que je partais avec elle, en direction des dortoirs. Gamma – meilleure confrérie de l’année ; merci qui ?

Septembre 2009

Ce soir était ma première fête en tant que Gamma à part entière, en deuxième année. Une énorme soirée avait été organisée, comme nous avions l’habitude de la faire, un truc complètement déjanté afin de faire de la publicité à la maison et de rameuter le plus de monde. Bref, tout ce que j’ai loupé l’année dernière en jouant au loup solitaire. Le salon principal était complètement rempli et j’avais bien remarqué le groupe de jeunes filles qui me faisaient de l’œil depuis le début de la soirée. Dan n’avait pas menti l’année dernière : cette confrérie est vraiment une mine d’or, sans emmerde. Je pris de coupes de champagnes dans mes mais et m’approchait de ce groupe, dont le tour moyen de poitrine devait être du 90 C, en mettant mon côté gentleman en avant. « Bonjour mesdemoiselles, j’espère que la Gamma’s House vous plait ! » ; un petit sourire de commandes et le tour était joué ; je donnais les deux verres à deux des filles, qui me rejoignirent, malgré la déception non cachée de leurs amies. Chacune de mes mains allèrent se caler sur la taille des filles ; la soirée s’annonçait vraiment bien. Je tentais tout, vraiment tout pour être le plus charmeur possible et les faire craquer pour ma sororité qui est la plus convoitée de l’université. On m’y associait d’ailleurs souvent, comme si je commençais à en faire le symbole à part entière, alors que je venais de commencer juste ma seconde année à Clemson. Autant en profiter, elles représenteront toujours deux coups potentiels. On avait discuté un moment, et j’arrivais vraiment bien à masquer mon ennui ; j’avais finalement envie de rejoindre d’autres personnes, ces filles étaient vraiment … trop prises de tête. Mon excuse était en fait toute trouvée ; à quelques mètres de moi se trouvait une jeune fille seule. J’approchais pour l’aborder mais elle fut entre temps rejointe par une amie. Amie fort intelligente qui nous laissa seule lorsqu’elle vit mon sourire sur commande. « Je ne t’ai jamais vu parmi les Gamma toi ! Tu veux un verre ? ». Elle m’avait souri, pas vraiment un sourire timide mais plutôt pas intéressé, voire détaché. Je n’avais pas vraiment envie de m’éterniser, mais autant ramener du monde dans la confrérie, et puis, elle me servait bien d’excuses pour les succubes non loin de moi. Je tachais alors d’être aimable, même si la conversation fut difficile à établir. Alors que je commençais à vraiment désespéré, une Gamma que je connaissais assez bien me rejoint, s’excusant à la jeune fille que j’avais abordé de m’emprunter. En y repensant, elle était vraiment très belle, calfeutrée dans cette image d’innocence ; j’aimerais bien la dévergonder un peu !

Octobre 2010.

« Viens la ma belle ! ». Je la pris dans mes bras et la posais sur le bar, d’où quelques verres tombèrent sur le sol, dans un grand fracas. Les Gamma étaient vraiment incroyables ce soir ! C’était en réalité l’anniversaire de Dan et il avait vraiment vraiment vu les choses en grand ! J’étais à présent entouré de plusieurs amis et je venais de déposer Clara sur le bar, après lui avoir enlevé son haut, qui lui allait pourtant si bien ! Un gars que je ne connaissais pas avait commencé à lui verser de l’alcool dans le nombril et je m’étais rué dessus. La soirée était bien avancée, mais je ne fatiguais pas vraiment, je divaguais seulement. Clara prit mon visage entre ses mains et l’approcha de ses lèvres, afin de m’embrasser, sous les huées des personnes présentes, ce qui l’a fit sourire. C’est vrai que notre relation était vraiment méconnaissable. Nous n’avions jamais été proches tous les deux, bien que nous nous connaissions depuis un moment. Un an exactement, depuis cette fête de rentrée chez les Gamma, où j’avais rencontré Beverly. Clara était là aussi, et beaucoup plus facile que sa copine. Mais pas la peine de rechigner ce qui se présente à moi ; elle veut être servie ? elle le sera et pas qu’un peu.

Avril 2011

Elle approchait avec deux livres à la main, c’était presque trop tentant, le moment était même parfait. Un. Deux. « Alors Chamberlain, toujours en train de me suivre, hm ? Je t’ai déjà dit que je ne cède pas facilement à des avances si peu subtiles ! ». Elle m’ignora, comme d’habitude, et passa son chemin. Elle résiste et j’adore ! Beverly est plus qu’une « fille » comme je les vois toutes d’habitude ; je pense qu’on est amis ou juste de bons potes et qu’on se perdra de vue, sans aucun doute après la fac ; et pourtant, je ne sais pas, il y a ce je-ne-sais-quoi qui me pousse à l’emmerder à chaque fois que je la vois. En fait c’est étrange. Je veux être le seul à l’emmerder, comme si, j’étais le seul à savoir où frapper pour l’atteindre.