NOM : Moriarty.
PRÉNOM(S) : Jayden Skyler.
ÂGE : 29 ans.
NAISSANCE : 23 septembre 1983.
ORIGINES : Américaine.
STATUT CIVIL : Célibataire.
ÉTUDES/JOB : Barman.
TRAITS DE CARACTÈRE : je-m'en foutiste, libertin, extraverti, dynamique, provocateur, blagueur, jaloux, tetu, "gentil".
GROUPE : Are you kidding me.
AVATAR : Joseph Morgan.

comment as-tu découvert l'histoire du massacre de stanley hall ? Jayden vit à Clemson depuis toujours, alors cette histoire, il l’a entendu des centaines et des milliers de fois. Cependant, la première fois fut le jour de la rentrée de sa première année à l'université. Autant dire que leur week-end d'intégration fut riche en hurlement, course et déboire en tout genre. Il n'y a pas cru un seul instant, mais s'est fortement amusé a faire peur à toutes les filles présentes ce jours là.

penses-tu que ce tragique événement a réellement eu lieu ? Non, il n’y croit pas un mot. Jayden n’est pas de ces personnes qui croient à tout et à rien. Il ne croyait qu’en Dieu. Mais ça, c’était avant que sa mère décéde et que personne n’est pu rien faire pour la garder en vie. Depuis, il ne crois plus en rien a part en lui-même. Comme il le répéte souvent, il faut croire en ce que l’on voit.

quel est la légende urbaine qui tu fais le plus flippé ? Aucune. Dame blanche, clown, prédateur, cavalier sans tête … Rien ne lui fait peur. Il ne croit pas en ces choses là, clamant haut et fort que ce ne sont que des histoires pour faire peur aux plus froussard, histoire que la légende perdure. Il en faut bien plus pour horrifier le beau Jay.

001. PRÉNOM Aurélia △ 002. PSEUDO / △ 003. ÂGE 19 ans △ 004. PAYS France △ 005. PRÉSENCE 7/7j △ 006. J'AI CONNU LE FORUM PAR Emma Ventury △ 007. CE QUE J'EN PENSE J'adore le forum =) △ 008. DERNIER MOT Je vous aime !! =D Mais je m'aime plus (aa)

23 septembre 1983
« Qu’il est mignon ! », s’exclamait ainsi toute les femmes de la pièce. Et pour cause. Le petit Jayden Skyler Moriarty était né. Après 8 heures de travaille, Mme Moriarty avait mis au monde le plus beau bébé qu’elle n’a jamais eu l’honneur de rencontrer. Il était blond, un peu joufflu, mais dotée de grands yeux bleus émerveillés. Il ne criait pas. Il ne bougeait pas. Il ne faisait que fixer sa mère, tandis qu’il passait de bras en bras. Il n’avait d’yeux que pour la femme qui l’avait porté pendant neuf mois, cette femme qui l’avait nourris, et le nourrirais pendant probablement encore de longue années. Leur premier enfant. Leur première vraie réussite.

4 Octobre 1986
« Tu ne veux pas aller voir papa deux minutes mon cœur ? », dit Mme Moriarty en caressant la joue du petit Jayden. Ce dernier hocha la tête en soupirant un peu. Il aimait bien rester avec sa mère, la regarder faire ce qu’elle avait à faire, ne pas bouger. Juste la regarder. Il posait quelques questions quelque fois, simplement pour savoir le faire après. Il se dirigea néanmoins vers son père, un sourire aux lèvres, et grimpa sur ses genoux. Mr Moriarty encercla son fils dans ses bras, et lui conta quelques histoires en rapport avec la religion, comme toujours. Jayden écoutait, ravi que son papa lui raconte des histoires. Il aimait bien ça et il en redemandait toujours, y croyant dur comme fer. A 3 ans, on croit à tout !

25 décembres 1986
Jay dévala les escaliers sur les fesses, en ce matin de noël. Il espérait que le Père noël lui avait ramené tout les cadeaux qu’il avait demandés. Et ce fut le cas. Au pied du sapin une montagne de cadeaux l’attendait. Il en avait les larmes aux yeux. Il courra alors vers lui, finissant agenouillé parmi les aiguilles tombées et ouvrit à la volé plusieurs paquet en même temps, sous le regard heureux de ses parents. Quelques minutes plus tard, après les avoir remerciés, Jay grimpa sur les genoux de sa mère pour lui faire un câlin. Il était tellement heureux. Mme Moriarty regarda son mari un moment, avec un grand sourire, puis hocha la tête. Elle caressa la joue de son fils et sourit. « Mon cœur, J’ai une autre petite surprise pour toi. » Les grands yeux bleus du petit Skyler se levèrent pour rencontrer ceux de sa mère et il sourit, tout en l’écoutant. « Tu va bientôt avoir un petit frère ou une petite sœur ! » Le sourire du petit garçon se fana un instant, essayant de comprendre ce que cela voulait dire. Il n’allait plus être tout seul ; il allait devoir partager ses jouets ; et sa maman ne sera plus qu’à lui. Il fronça les sourcils, avant de sourire à nouveau. Il voyait que sa mère était heureuse. « J’espère que ce sera une petite sœur. » Mr Moriarty entoura d’un bras protecteur son fils et sa femme. Il était plus qu’heureux.

30 avril 1987
« Regarde mon chéri. Je te présente Blue-Lennon Phoenix Moriarty, ta sœur ! » Jay resta bouche bée demande ce petit bébé qui le regardait. Il tendit timidement la main vers elle, et, après avoir reçu le hochement de tête approbateur de sa mère, caressa le dos de la main de Blue-Lennon. Un sourire apparut sur le visage de tous les membres de la famille. Même à 3 ans, Jayden savait qu’il devra toujours protéger sa petite sœur, quoi qu’il arrive. L’infirmière se proposa gentiment pour prendre une photo, celle qui trônera 26 ans plus tard sur la table de chevet du grand Jayden.

22 novembre 1993
Toute la famille au complet était assise autour de la table où trônait le diner du soir pour Thanksgiving. Mme Moriarty avait passé toute l’après midi à cuisiner, sous le regard de son fils, Jayden, âgé de 10 ans maintenant. Il n’avait pas perdu de son habitude de regarder sa mère cuisiner, et il avait maintenant l’âge de l’aider, ce qu’il faisait à la perfection. C’était une tradition entre eux. Tous les jours de fête, Mme Moriarty préparait le repas avec l’aide de son fils. Et ça leur allait. Blue jouait tranquillement dans sa chambre, et son frère allait fréquemment la voir pour s’assurer qu’elle allait bien. Il prenait son rôle de grand frère très à cœur, au plus grand bonheur de ses parents. Même si il aimait la taquiner et la faire hurler dans toute la maison, ils s’entendaient à merveille. Jay l’emmener partout, et Blue écoutait les conseils et les conneries de son frère. Et ça, depuis 6 ans.

16 novembre 1997
C’est à la récré de quinze heure que Jayden appris la nouvelle. Le directeur vint le chercher en personne dans sa classe, pendant le cours de biologie, et le ramena dans son bureau. Jay savait que ça ne présageait rien de bon, et toute la journée il s’était senti mal, comme si il avait oublier de faire ou dire quelque chose. Il s’était assis docilement sur la chaise, comme le bon élève qu’il était, et regarda l’homme en face de lui. Ce dernier avait les traits tirés, et la mine grave. « Mon garçon, ce que je vais te dire n’est pas facile. » Il passa une main dans ses cheveux et retira ses lunettes. « La police vient de m’appeler pour me dire que ta mère s’était faite renversé. Toutes mes condoléances mon petit. » Skyler resta stoïque, regardant l’homme en face de lui comme s’il ne comprenait pas ce qu’il venait de dire. Comme si c’était une plaisanterie. Il tourna vivement la tête vers la porte du bureau, s’attendant à ce que sa mère entre en riant, en lui disant que c’était faux, qu’elle était là. Qu’elle resterait là. Mais au bout de cinq minutes, personne ne passa cette porte, et malgré les paroles du directeur, Jay ne l’entendait pas. C’était impossible. Sa mère ne pouvait pas être morte. Or de question. Il se leva d’un bond, et courut vers la sorti, dans les couloirs de l’établissement. Le directeur hurla son prénom, mais ne le suivit pas. Jay se dirigea vers l’école de sa sœur. Elle n’avait que 10 ans. Comment allait-elle comprendre que sa mère ne reviendra plus ? Il courra de plus en plus vite, et arriva, essouffler jusque dans sa classe. Il la vit, tout au fond de la pièce, sa peluche dans les mains, ne bougeant plus. Il avança alors vers elle, se rappelant de la promesse qu’il s’était faite le jour de sa naissance. Jay porta sa sœur dans ses bras, et sorti de la classe. Il affichait un calme olympien, même si les larmes roulaient en silence sur ses joues rougit par l’émotion.

23 septembre 1998
Premier anniversaire sans sa mère. Le jour où il a appris la mort de sa mère, un an plus tôt, fut le jour où Jay compris que la vie ne serait pas facile. - Ce jour là, il se rappel avoir déposé sa sœur dans sa chambre, lui disant qu’il allait revenir, qu’il ne fallait pas qu’elle s’inquiète. Il était ensuite parti voir son père dans le salon. Ce dernier était entrain de prier. De prier Dieu, afin de protéger la maison, de protéger sa famille, d’aider sa femme qui était près de Lui maintenant. C’est à ce moment là que cela fit un déclic dans la tête du jeune garçon. Dieu ne fera rien. Dieu ne protégera pas la famille, ni sa mère. Il n’était pas là. Il ne l’a pas aidé lorsqu’elle est morte. Il l’a laissé mourir. Il l’a abandonné. C’est à ce moment là que Jay changea du tout au tout. Fini le gentil garçon qui faisait ce qu’on lui disait. Fini le garçon ce souciait de tout. Fini le garçon qui croyait en une Personne qui en fin de compte n’existait pas. Il s’était alors mis à hurler sur son père, lui disant d’arrêter de prier, que tout ça n’était que des conneries. Que sa mère était morte. Que personne ne savait qui était le responsable. Pendant près d’une heure les deux hommes de la maison s’était mis à crier. Puis Jay était parti dans sa chambre en claquant la porte. Il était parti s’allonger auprès de sa sœur pour la rassurer. « Ne t’en fais pas sœurette, je serais toujours là pour toi. Quoi qu’il arrive, je serais là. » Il lui sourit, et lui caressa ses cheveux, comme leur mère le faisait habituellement. Il savait que jamais il ne s’en remettrait vraiment. C’est à ce moment là que son comportement à totalement changer. C’est devenu un j’m’en foutiste, et provocateur. Surtout envers son père. – Alors, pour la première fois, il passa son quinzième anniversaire assis sur la pelouse entourant la pierre tombal de sa mère, une bière à la main, des roses rouges près de lui et le regard tourné vers le ciel étoilé.

15 Juin 2002
Le jour tant attendu était enfin arrivé. Président de la fraternité des Gamma Delta XI, Jayden avait promis à toutes les personnes du campus qu’il ferait une énorme fête pour célébrer la fin des examens et donc, le passage à l’année supérieur. Et c’était ce jour. Cette date restera a jamais graver dans la mémoire du campus. Tout le monde était invité. L’alcool coulait à flot, la musique hurlait à travers les enceintes, et les jeunes se déhanchaient sur la piste. Pour lui, c’était une victoire. Mais la promesse qu’il avait faite à tous les étudiants, était une promesse faite envers sa mère. Il lui avait toujours promis qu’il passerait en deuxième année, et que pour ça, il organiserait une fête. A cette époque il n’aurait imaginé que sa soirée prendrait cette envergure. Toute son équipe de football et ses cheerleaders étaient présente, et le félicita, lui, leur capitaine. Cette année là, Jayden avait tout gagné. Il était Capitaine de l’équipe de foot, Président de sa confrérie. Il avait gagné, avec son équipe, la coupe de football national.

13 février 2004
Ce jour là, Mr Moriarty était arrivé 5 minutes en retard pour le diner, ce qui le mit quelque peu en colère. Il n’aimait pas diner en retard, répétant sans cesse que c’était mal de faire attendre Dieu. Par chance, la table était déjà mise, et les enfants étaient déjà installés, l’attendant patiemment. La colère du mari n’était pas énorme, il était en faite simplement frustrée, et s’est comme ça qu’il se mit à raconter l’effroyable histoire qu’une femme de la ville était venu lui conter. « Il paraitrait que l’histoire sur les mystérieuses mort à l’université, ne soit pas qu’une légende. Selon Mme Dupont, tout le monde en ville en parle, et quelques étudiants ont maintenant peur d’aller dormir. On raconte que la personne vient frapper à la porte de ses victimes entre 00h00 et 00h01 et tous ceux qui lui ouvrent sont retrouvé égorgé. »L’homme secoua sa tête, ne sachant que croire. Jayden se tourna alors vers « Bouhhhh, n’ouvre pas ta porte lorsque tu seras à la fac, dans quelques mois ?! » Il leva la tête vers son fils en lui jetant un regard noir. Ce dernier leva les yeux au ciel. Blue lui donna un coup de coude dans les cotes. « T’es vraiment pas drôle comme mec ! ». Jay ne dit rien, faignant d’avoir peur de représailles de sa sœur. Mais en vérité, il prévoyait déjà de la faire sauter au plafond dans la soirée. , disons, entre 00h00 et 00h01. Un large sourire étira sadiquement ses lèvres.

24 août 2006
Blue et Mr Moriarty sont à l’aéroport, attendant le retour tant attendu de jeune Jayden. A 21 ans, il avait décidé de partir faire un petit tour du monde, histoire de voir la terre entière et séduire toute les femmes se trouvant sur sont chemin. Car oui, Jay est devenu un séducteur hors paire, mettant dans sont lit toutes celles qui se risqueraient de lui parler, ne serait-ce lui demander l’heure. Bien sur il ne prend pas n’importe qui, et pour lui, elles doivent toutes être honorées d’être en sa compagnie. Le voilà, deux ans plus tard, après avoir visité Paris, Rome Madrid, Hong Kong et plein d’autre capital, à l’aéroport de sa ville, sa valise dans une main, et son sac en bandoulière dans l’autre. Il leva les yeux vers la foule devant lui à la recherche de sa sœur et de son père, qu’il ne tarda pas à trouver. Il leur sourit avant de prendre sa sœur dans ses bras. « Alors la naine, comment c’est l’Université ? ». Il fit une simple accolade à son père, toujours un peu en froid avec ce dernier, puis ce dirigea vers la voiture, écoutant les péripéties de sa sœur.

22 mai 2012
Voilà 3 ans maintenant que Jayden à ouvert son propre bar, ou plutôt, à racheter celui de son ancien employeur. Vous l’aurez compris, les études et Jayden ça fait 11. A la fin de sa troisième année, il a dit stop aux sciences pour être embaucher comme Barman au bar du coin. Pendant trois ans il n’a été que salarié, mais voilà, il ne gagnait pas assez et puis, son patron commençait à faire faillite. 1 an de rénovation à été utile pour restaurer ce bar miteux, en bar famous où les plus grande soirée s’y passe. Jay est à la fois Barman et patron de la boite, ayant gardé son ancien patron tout de même comme manager. Il s’est attaché au bar, c’est comme son enfant. Inutile de vous dire qu’il y fait régner l’ordre, même si quelque fois, les soirées dégénèrent.