NOM : Astley.
PRÉNOM(S) : Théodora mais on l'appelle plus souvent Teddy' ou Théo'.
ÂGE : trente six ans.
NAISSANCE : quatre mars à Johannesburg, Afrique du Sud.
ORIGINES : grecque et africaine.
STATUT CIVIL : veuve et donc célibataire.
ÉTUDES/JOB : professeur de biologie et de grec à l'université de Clemson
TRAITS DE CARACTÈRE : souriante, jalouse, possessive, charmeuse, franche, émotive, sérieuse, discrète, passionné, tendre, à l'écoute, rancunière, juste, responsable, susceptible.
GROUPE : Are you kidding me ?.
AVATAR : julia roberts.

comment as-tu découvert l'histoire du massacre de stanley hall ?
On m'a raconté pour la première fois cette histoire quand j'ai fait mon entrée en tant que professeur à l'université. Un collègue qui se croyait sans doute malin, pensait pouvoir me faire peur en me parlant de cette histoire qui en vérité m'a plus amusé qu'autre chose. J'étais la petite nouvelle de l'équipe alors forcément et au même titre que les élèves j'avais le droit à cette sorte de "bizutage".

penses-tu que ce tragique événement a réellement eu lieu ?
Je ne pense pas qu'il ai eu lieu ou du moins, je pense que les choses ont été très romancé. C'est ce que les gens ont l'habitude de faire lorsqu'il lance des rumeurs et avec les années qui passent, en général, les choses sont accentué et exagéré. Peut être que je me trompe et que cette chose effrayante à bien au lieu.. mais franchement je n'y crois pas. Et puis, on peut dire que aujourd'hui c'est surtout une bonne histoire à raconter pour essayer les nouveaux arrivants.

quel est la légende urbaine qui tu fais le plus flippé ?
Les histoires d'horreur - même si je n'y croit pas - me font toujours flipper mais il y'en a une qu'on m'a raconté et dont je me souviens particulièrement bien. Je ne sais plus où et quand, un couple qui avait pris une chambre dans un hôtel à eu la "bonne surprise" de retrouver sous le lit un cadavre ou un squelette je m'en souviens plus trop. Cette histoire m'a réellement fait froid dans le dos et maintenant dès que je vais dans un hôtel ou dormir ailleurs que chez moi, je ne peux m'empêcher de penser à ça.

001. PRÉNOM camille △ 002. PSEUDO hd △ 003. ÂGE 18 ans △ 004. PAYS France △ 005. PRÉSENCE 4/7j △ 006. J'AI CONNU LE FORUM PAR en me baladant de forum en forum △ 007. CE QUE J'EN PENSE il est magnifique ! △ 008. DERNIER MOT HAKUNA MATATA !

« Teddy' ma puce, je sais pas si tu te rends compte de ce que ça représente. Un enfant c'est pas un jouet ! » La jeune femme brune, âgé de maintenant dix sept ans soupira devant la remarque de sa mère. Elle avait beau adorer ses parents, elle en avait marre que depuis l'annonce de sa grossesse, tous les deux voient en elle une fille irresponsable. Elle avait toujours été très posée et réfléchie comme fille, ils le savaient très bien ! Alors pourquoi tout d'un coup, juste parce qu'elle avait décidé de vivre cette grossesse non désiré jusqu'à son terme, il la voyait comme une autre fille ? Elle, tout ce qu'elle voulait c'était qu'ils la comprennent et surtout qu'ils la soutiennent. « Je sais bien maman. Qu'est ce que tu crois, que Graham et moi on y a pas réfléchis ? » Graham, son petit ami depuis maintenant deux ans. Cet irlandais s'était installé en même temps qu'elle et sa famille à New York, et ils avaient commencé à se fréquenter au lycée. Tous les deux ça avait été un véritable coup de foudre et depuis le début ils savaient qu'ils étaient fait l'un pour l'autre. Cet enfant était clairement un accident mais le jeune couple avait pris ça comme une espèce de ''signe'' ; il avait tout de suite été hors de question d'aborder le thème de l'avortement. Bien évidemment le reste de la famille Astley avait du mal à le comprendre. Ils étaient l'archétype même de la bonne famille dans laquelle ce genre de chose n'arrivait pas. Voilà deux ans qu'ils avaient quitté l'Afrique du Sud et la ville de Johannesburg pour venir s'installer ici, à New York, des rêves pleins la tête. Le père, William, avait réussi à bâtir en partant de presque rien, une entreprise immense qui leur permettait aujourd'hui de vivre assez aisément. Caroline elle, avait toujours vu sa fille comme sa plus grande fierté. Elle la poussait constamment depuis qu'elle était petite tout en essayant de garder un minimum de communication et de joie au sein du foyer. Théodora avait en effet reçu une éducation irréprochable. Douée en équitation, en escrime ou encore en gymnastique, elle avait plusieurs fois remporté des petits concours. Elle maîtrisait le piano et le violon à la perfection et à l'école, on la désignait comme l'élève parfaite. Oui, jusqu'à maintenant la jeune femme avait fait un parcours sans faute mais un simple oublie lors d'une nuit d'amour allait sans doute tout bouleverser. Enfin c'est ce que craignaient ses parents. « Je m'inquiète juste pour toi ma chérie. » Teddy' attrapa la main que sa mère venait de poser sur son visage et lui adressa un sourire qu'elle espérait rassurant et chaleureux. « Ça va aller maman. T'en fait pas. » « Et tes études ? » Son père, qui avait toujours l'habitude de mettre les pieds dans le plats et de casser les moments de tendresse – sans le vouloir bien évidemment – venait de s'installer à côtés de sa femme. « Et bien je vais peut être devoir m'arrêter un an ou deux mais je pourrais reprendre après.. » Elle baissa les yeux et fit une mine de chien battu, une habitude qu'elle avait depuis qu'elle était petite. William et Caroline se regardèrent puis lui soupira. « Bon.. On va t'aider de toute façon, tu pourras nous le laisser. »C'était justement ce que Teddy' voulait entendre, et c'était d'ailleurs pour ça qu'elle avait voulu faire cette sorte de réunion de famille improvisé. Son large sourire illumina son visage et elle se jeta littéralement au coup de ses parents. « Vous êtes géniaux ! » Elle n'avait jamais douté de leur bonté malgré les quelques réflexions auxquelles elle avait eu le droit, mais entendre de cette manière qu'elle serait soutenue quoi qu'il arrive lui faisait un bien fou. Et puis, elle savait aussi qu'elle pourrait continuer ses études même avec un enfant à charge. Se serait certainement plus difficile mais, elle ne serait pas seule.
Ce même soir, Théodora se regardait dans la glace. Soulevant légèrement son tee-shirt blanc, elle s'était mise de profil pour observer ce ventre qui commençait déjà à s'arrondir quelque peu. Sa main vint se poser sur sa peau alors qu'elle souriait bêtement en se mordant la lèvre inférieur. La perspective de devenir mère l'excitait. C'est vrai qu'elle était jeune mais au fond, elle se disait qu'il n'y avait pas d'âge pour avoir un enfant. Peu importe ce qu'on dirait d'elle en la voyant se balader dans la rue avec son bébé. Une main plus grosse et plus chaude que la sienne vint alors se poser à son tour sur son ventre. Graham qui venait de rentrer d'une journée de travail s'était glissé doucement derrière elle pour regarder le reflet qu'offrait le miroir, celle d'une famille qui commençait tout doucement à se construire. Ils restèrent un moment silencieux à s'observer et à observer ce ventre qui cachait et protégeait un petit être entrain de grandir. Teddy' finit par se retourner vers lui pour l'embrasser. Leur couple était fort et chaque geste tendre qu'il avait envers elle, permettait à la jeune femme de comprendre qu'elle n'était pas entrain de faire une erreur. Graham avait seulement un an de plus qu'elle, lui aussi suivait toujours ses études mais en apprenant la grossesse il s'était débrouillé pour se trouver un travail. L'argent ne manquait pas dans la famille Astley mais il tenait à prouver qu'il pouvait lui aussi offrir à sa famille tout ce dont elle avait besoin. En fait, il était tout simplement l'homme parfait, celui dont chaque femme pouvait rêver pour un jour, fonder une famille.


La pluie s'abattait violemment sur la maison. Ça faisait des jours qu'il n'arrêtait pas de pleuvoir à New York, comme si ces gouttes d'eau tombées du ciel étaient là pour accompagner celles qui coulaient sur les joues de Teddy' et de sa fille Marilyn. La veille avait eu lieu l’enterrement de Graham. La jeune femme n'arrivait pas à s'en remettre. Déjà lorsque les médecins lui avait annoncé sa mort, elle n'y avait pas cru et pendant quelques secondes elle avait cru à un mauvais rêve, puis elle s'était effondré par terre en pleurant toutes les larmes de son corps et en criant des ''pourquoi ?'', auquel personne ne pouvait répondre bien évidemment. Puis elle avait du l'annoncé à sa fille, alors âgé de quatorze ans, âge où malheureusement on comprenait bien ce qu'était la mort de quelqu'un. La petite brune avait pleurer de longues heures contre sa mère qui elle avait essayé de garder la tête haute et de ne pas craquer face à Marilyn. Comment expliquer à une jeune fille heureuse comme tout que son père avait été emporté à cause d'un pauvre abruti qui avait abusé sur l'alcool et qui avait malgré tout décidé de prendre le volant. A ce moment là, tout lui paraissait si injuste et incompréhensible. Cette famille qu'ils avaient construit au fil des années étaient parfaite et les disputes étaient rares. Peut être qu'ils étaient justement trop heureux, que leur vie était trop parfaite.. peut être que.. Théodora soupira en s'éloignant de la fenêtre à travers laquelle elle regardait depuis près d'une demi heure, une tasse remplit de café à la main. A quoi est ce que ça pouvait bien servir de trouver une raison à un tel drame en regardant cette allée mouillé, dans laquelle elle espérait encore le voir arrivé en voiture, comme tous les soirs. Mais cette fois ci, il était minuit passé, la rue était vide et Graham lui, ne reviendrait plus. Des pas discrets se firent entendre dans les escaliers. La jeune femme tourna la tête après avoir bu une gorgé de café, seule chose qu'elle arrivait à avaler depuis plusieurs jours, et parfois avec difficultés. Marilyn arriva jusqu'à elle, les yeux gonflés et rouges. Elle aussi avait perdu le sommeil depuis la mort de son père et pourtant Théodora la trouvait très courageuse. Elle avait vu pleuré sa fille à l'annonce du décès, et quelques larmes étaient aussi sortit à la fin de l'enterrement, mais c'était bien tout. Pourtant elle devait souffrir mais peut être préférait-elle cacher ses moments de faiblesse à sa mère, tout comme Teddy' le faisait, en s'autorisant de craquer uniquement le soir quand elle était seule dans sa chambre. La petite brune vint s'asseoir à côtés de sa mère contre laquelle elle se blottit rapidement. « T'arrive pas à dormir.. ? » demanda Théodora, brisant ainsi un court silence qui s'était installé. Marilyn n'ouvrit pas la bouche pas et se contenta de secouer la tête. « On peut regarder la télé si tu veux. » « D'accord.. » répondit-elle finalement avec une voix dans laquelle on pouvait entendre toute la tristesse qui l'habitait. La mère attrapa la télécommande pour allumer le poste de télévision qui en vérité ne servit même pas de distraction. Toutes les deux regardaient les images qui défilaient et écoutaient le son qui les accompagnaient, sans vraiment y faire attention. Teddy' repensait à toutes ses soirées qu'ils avaient passé ici tous les trois, à regarder un match – puisque le jeune homme avait convertis ses deux femmes au baseball et au football – ou un film, en mangeant des pizzas ou des bons plats préparer par Graham. Elle se surpris même à sourire un instant en revoyant cet homme qu'elle aimait tant, entrain de faire des trucs pas possible pour amuser leur fille, et elle aussi, quand l’atmosphère était un peu tendue. Ses amis lui avait dit qu'elle ne devait pas trop ressasser le passé et penser à son avenir, à sa fille qui elle était jours là et qui avait plus que jamais besoin d'elle ; mais en vérité, c'était difficile de passer outre tout ça, de se dire que même si Graham n'était plus là, la vie continuait. Pour Théodora, le moment ou les médecins lui avait annoncé la mort de son fiancé avait marqué la fin de quelque chose en elle. Elle se sentait brisé, incapable de faire quoi que se soit de bien et avait l'impression qu'une partie d'elle s'était envolé. Si Marilyn n'avait pas été là, il était certain qu'elle aurait déjà commis un geste irréversible qui l'aurait peut être ramener auprès de celui qu'elle aimait. Elle secoua la tête, comme pour se sortir cette sombre idée de la tête et vint poser sa main sur la tête de sa fille dont elle caressa la chevelure. Elle venait de s'endormir, sans doute trop épuisé par le manque de sommeil qu'elle avait accumulé. Théodora aussi essaya de fermer les yeux en espérant trouver le sommeil mais très vite, ses sombres pensées étaient revenues ne lui laissant pas une seule minute de repos. On lui avait dit que les premiers temps seraient très difficiles mais qu'à force, tout finirait pas aller mieux. Au fond, elle l'espérait mais, elle en doutait aussi beaucoup.


Ça faisait cinq ans maintenant que Graham avait quitté cette terre, laissant derrière lui un vide immense dans la vie de Teddy' et de leur fille. Et il y a quatre ans, la jeune mère s'était retourné vers sa fille avec laquelle elle fêtait son anniversaire autour d'un simple repas au restaurant, lui disant ''on va déménager.'' La première année après la disparition de l'homme de la famille avait été bien trop difficile à géré pour les deux femmes et en ayant assez de souffrir et de voir sa fille dans un sale état, Théodora avait pris la décision de partir – pas trop loin non plus pour ne pas bousculer les habitudes de Marilyn – mais elle avait eu envie de s'éloigner de New-York et du malheur que cette ville avait pu lui apporter. Voilà comment un vendredi, en fin de soirée, elles avaient atterrit à Clemson où Teddy' avait rapidement trouver un travail de professeur au sein de l'Université.
Aujourd'hui elle était assise à une table d'un des nombreux bar de la ville, un verre de bière à la main – et pas le premier – qu'elle sirotait doucement en discutant avec un jeune homme, Kent. Ce brun à l'air ténébreux qui était un peu plus jeune qu'elle, était surtout son collègue et l'un de ses meilleurs amis. Il avait tout de suite eu ces sourires sympathique à l'égard de la jeune femme qui forcément, avait foncé vers ce garçon, non pas avec une arrière pensé, mais juste parce qu'une présence masculine était indispensable dans sa vie. « J'en reviens pas, je vais avoir trente sept ans bientôt ! Je suis une vieille maintenant » soupira t-elle en portant son verre à sa bouche. Cette phrase eut le don de faire rire la jeune homme. « Attends un peu, on est entrain de fêter tes trente six, soit pas pressée comme ça. » Il lui adressa un large sourire avant d’appeler le serveur pour lui demander deux nouveaux verres. Teddy' elle avait sans doute déjà beaucoup trop bu, mais bon, ce n'était pas tout les jours qu'on avait trente six ans ! « Il est temps de faire un bilan de ma vie » « Oh si tu veux, je suis sûr que ça va être très intéressant. » Elle souffla avant de remettre une mèche de cheveux rebelle derrière ses oreilles puis elle commença à énumérer, en comptant sur ses doigts « J'ai trente six ans, ce qui fait de moi une femme beaucoup trop vieille pour avoir d'autres enfants alors qu'en fait, je crois que ça m'aurait plus d'avoir une grande famille ! Bon j'ai quand même ma fille. Qui semble d'ailleurs vivre les choses beaucoup mieux que moi. Elle est formidable et tout ça mais j'ai l'impression que je l'étouffe un peu trop tu vois ? » Elle regarda Kent qui se contentait de hocher la tête en souriant, sans doute amusé par le spectacle qu'elle lui offrait. Teddy' termina son verre puis reprit. « Je suis célibataire, enfin veuve mais quand je le dis les gens ont pitié de moi et je déteste ça. Ma vie sentimentale est aussi vide que le cerveau de certains de mes élèves, qui soit dit en passant doivent me détester vu ce que j'ai entendue dans les couloirs. Tu savais que certains disait que j'étais une prof horrible et que quand je m'énervais je ressemblait à une sorcière ? » Kent se mit cette fois à rire à gorge déployé. Les bruits de couloirs il connaissait, mais il savait aussi que Teddy' n'était sûrement pas la prof le plus horrible dans cette université. « T'en fait pas, ils disent ça parce qu'ils savent qu'ils ne t'arriveront jamais à la cheville ! Ils sont juste jaloux, laisses les parler. » Lui aussi termina son verre et reprit. «  Et pour ce qui est du reste et bien je te trouve un peu pessimiste. T'as trente six ans peut être mais t'as encore le temps de refaire ta vie. Si t'étais un peu plus ''ouverte'' et un peu moins sur la défensive peut être que des mecs oseraient venir te voir. » « Attends t'es entrain de dire que je leur fait peur ? » « Mais non mais.. enfin quand Mark a essayé on peut pas dire que t'as été très sympa avec lui.. » « C'est vrai.. » lâcha t-elle accompagné d'une espèce de petit sourire narquois. Le serveur arriva enfin, récupérant les verres vides pour en reposer d'autre, pleins devant Kent et Théodora. La jeune femme attrapa le sien et soupira. « Si Marilyn me voyait.. » Le jeune homme qui avait déjà trempé ses lèvres dans le liquide alcoolisé. « Je suis sûr qu'elle serait ravie que pour une fois, tu prennes du bon temps. » Elle ne répondit pas et se contenta d'une légère grimace. Sur ce coup, le brun n'avait pas tord. En arrivant ici, toutes les deux s'étaient dit qu'elles démarraient une nouvelle vie, qu'elles laisseraient leur chagrin à New-York pour profiter des jours, de la vie qui leur était offert. Marilyn avait prit ça au pied de la lettre alors que sa mère, elle avait beaucoup plus de mal. Il y eut un silence. Court ou long ? Théo' ne pouvait pas vraiment le définir, sans doute à cause de tout l'alcool qu'elle avait ingurgité ce soir, mais elle finit par reposer son regard vide sur Kent pour lui dire d'un air plutôt rêveur et perdu : « Si je devais refaire ma vie, je crois que se serait avec un mec comme toi. » Elle lui adressa un large sourire et lui fit de même. Sans doute ne se rendaient-ils pas vraiment compte de tout ce que cela signifiait, du moins, pas elle qui commençait sérieusement à être attaqué par l'alcool. Si ils avaient continué ainsi elle aurait peut être même pu se mettre à danser sur la table et à faire ce genre de truc débile qu'on fait quand on est plus vraiment sois même. Le lendemain elle se sentirait sûrement très mal – en plus d'avoir une gueule de bois pas possible, elle aurait honte – mais au moins, pour une fois elle avait l'impression de s'amuser et de se lâcher, chose qu'elle n'avait pas fait depuis près de cinq ans maintenant.