NOM : Noleyn.
PRÉNOM(S) : Haily Effy.
ÂGE : 19 ans.
NAISSANCE : 21 mars.
ORIGINES : Allemande.
STATUT CIVIL : Célibataire.
ÉTUDES/JOB : La médecine
TRAITS DE CARACTÈRE : Bornée, têtue, caractérielle, perfectionniste, extravertie, honnête, drôle, modeste, curieuse.
GROUPE : The trigger code.
AVATAR : Kaya Scodelario.

comment as-tu découvert l'histoire du massacre de stanley hall ? J'en avais entendue parlé dans les journaux, et j'avoue être très curieuse. J'ai donc eux envie d'aller y jeter un coup d'oeil. Parallèlement, depuis mon enfance je rêve de venir dans cette université. C'était donc le moment idéal pour y venir. J'en avais aussi vaguement entendue parler par des élèves, lors de ma visité de l'établissement. Certain on l'aire d'y croire, tandis que d'autre croix que c'est réellement une légende urbaine.

penses-tu que ce tragique événement a réellement eu lieu ? Je pense effectivement que celui-ci à eut lieu. Mais nous en avons pas de preuve. Après je ne souhaite pas que celui-ci ce soit vraiment passé, mais si c'était le cas, j'aimerais beaucoup enquêter sur cela. On dit que c'est une légende urbaine, mais qui aurait pu inventer une chose pareil ?

quel est la légende urbaine qui tu fais le plus flippé ? Je n'en ais pas vraiment. Peut-être la dame blanche ou bloody mary. Mais je n'ai pas vraiment peur de ces histoires. J'aime beaucoup les mystères, et encore plus les résoudre. Mais certain ne doivent jamais être résolu. J'ai déjà essayer d'en résoudre, mais il m'est arrivé des choses très bizarre. Et je ne peux pas dire avoir eux peur, mais c'était tout de même louche.

001. PRÉNOM Margot △ 002. PSEUDO Miss Apple △ 003. ÂGE 15 ans △ 004. PAYS France △ 005. PRÉSENCE 4/7j △ 006. J'AI CONNU LE FORUM PAR Juliette M.C. Dubois △ 007. CE QUE J'EN PENSE Très joliiie △ 008. DERNIER MOT Nop ♥

Effy n'a pas toujours eut une vie facile. Elle est née le 21 Mars 1991 à Marbourg, en Allemagne. Elle y a vécue jusqu'à ses 16 ans. Elle est venue dans cette université pour étudier la médecine afin de devenir scientifique dans la police scientifique.

Little girl

Je suis née le 21 Mars 1991 à Marbourg, en Allemagne. J'ai toujours aimé cette ville. En effet c'est là où j'avais toutes mes amies et mes deux parents. Je ne sais pas trop la signification de "riche" - certains disent que c'est des personnes sens humanité et qui eut ont de la chance dans la vie -. Moi je ne pense pas cela, non pas parce que nous l'étions, mais je pense plutôt que "les riches" sont des personnes qui ont bien réussit dans la vie et qui ont eut ce qu'elles méritaient. Je pars du principe où il faut travailler pour avoir. C'est pour cela que mes parents m'achetaient tout ce que je souhaitais, en échange de quoi je devais leur ramener de bonnes notes. Certes, ils pouvaient concevoir que l'on ait quelques lacunes à l'école, mais on peut arriver à tout faire lorsque l'on s'en donne les moyens. Et puis ils étaient bien conscients que j'avais les capacités d'accomplir ce qu'ils me demandaient. Je ne voulais pas être en rivalité avec mes parents, donc je suivais ce qu'ils me demandaient et j'avais ce que je voulais, comme ça tout le monde était content. Quoi qu'il en soit j'étais consciente qu'il fallait travailler pour réussir. Et j'avais bien l'intention de me donner à fond pour parvenir à mes fins.



Arriver à l'adolescence, je n'ai pas vraiment changé ma façon d'être. Je me suis juste forgée un caractère, car arrivé au collège, on peut dire tout ce que l'on veut -il faut être sympa pour être apprécié-, mais que l'on soit très gentille ou une peste, les gens sont méchants et parle dans votre dos. Et moi, j'étais au départ trop gentille. Et à force de me faire marcher sur les pieds j'ai évidemment dis stop. Je n'ai pas eu des tonnes de petits amis. Évidemment ce n'est pas ce que je recherche, faire la collection des mecs -ce que font certaines filles-, ne m'intéresse pas. Je me suis très vite laissé prendre par cette idéalisme que nous renvoient les films romantiques. Ce ou l'on voit une fille qui tombe amoureuse de deux garçons à la fois et qui ne sait lequel choisir. Elle en choisit finalement un des deux et elle se marie, a des enfants et "ils vécurent heureux". Dans ces films, on nous montre que l'on peut trouver le grand amour à chaque coin de rue. Ce qui est en vérité un cliché. J'ai appris au fur est à mesure des années que le grand amour est unique et que l'on peut parfois attendre toute une vie pour le trouver. Et après mettre fais avoir par certains garçons, car "L'amour rend aveugle", je me suis dit que j'allais faire beaucoup plus attention. Et puis l'amour ce n'est pas qu'une question de superficialité comme l'on peut le croire à l'adolescence, non non, c'est bien au-dessus de cela. C'est au-dessus de la barrière physique, cela concerne l'être humain, car ce qui est le plus important c'est ce qu'il y a à l'intérieur de soit. Ce que l'on appel l'être humain, c'est ce que nous avons à l'intérieur de nous, en chacun de nous, nous avons une personne qui rêverait de trouver le grand amour.

La famille Noleyn avait de moins en moins d'argent depuis quelques temps. Et Je m'en étais rendu compte parce qu'à cette période là, au printemps, était le moment ou ma mère faisait des folies financières. C'était l'un des moments de l'année où elle se faisait.

C'était alors qu'un soir, j'avais surpris mes parents parler d'argent. Ce qui était une règle que mes parents tenaient à tout prix à respecter. On ne parle pas d'argent dans la maison, à part si c'est dans le bureau et que je ne m'y trouve pas. C'était tout simplement pour éviter de me stresser, "Ce n'est pas aux enfants de se soucier de la gestion de l'argent de leurs parents", comme disait ma mère. Il est vrai que j'avais tendance à être têtue comme une mule. Et si je venais à apprendre que l'on avait des soucis d'argent, je serai prête à vendre quelques-uns de mes vêtements et tous mes joués d'enfance -ma mère tient absolument à les garder-, "Plus tard tu ne regretteras pas de les avoir gardés" me disait-elle si régulièrement.

Je viens alors à comprendre quelques mois plus tard, la source de nos problèmes. Mon père c'était fait viré de son boulot parce qu'il était arrivé au bureau bourré trois fois en une semaine. Il ne s'en était pas remis. Et avait plus que tout, peur de l'annoncer à ma mère. Il parvint donc lui cacher pendant un mois. Mais, même si nous avions assez d'argent pour tenir jusqu'à notre mort, il fallait restreindre notre train de vie. Mais pour cela, fallait-il encore parvenir à mettre ma mère au courant. Et mon père était quelque peu lâche lorsqu'il fallait prévenir ma mère d'une mauvaise nouvelle. Je le faisais souvent à sa place parce que ma mère ne me disait rien. Mais se servir de moi comme messagère aurait été plus que tout, la mauvaise idée. Il se mit donc à jouer au casino, ce qui n'était pas la meilleure idée qu'il est eut. Il devint vite accro à ces jeux là. Et ma mère ne tarda pas à constater que celui-ci était de plus en plus absent et que le compte en banque se vidait de plus en plus. Ce qui, normalement devrait faire l'effet inverse lorsque l'on travaille. C'est alors qu'une nuit de 4 juillet ma mère veilla jusqu'à deux heures du matin à l'attendre dans son bureau. Je savais que lorsque maman entrait dans le bureau sens mon père, était mauvais signe, très mauvais signe. Lorsque mon père revint à la maison, j'entendis parler très fort. Vers 3 H30 j'entendis crier et mon père sorti du bureau. Le lendemain matin, alors que celui-ci avait eu l'ordre d'aller chercher du travail en ville, je descendis pour aller chercher mon petit-déjeuner. Je vis ma mère qui se tenait la tête entre les bras et j'entendais quelques reniflements. En réalité, celle-ci pleurait. Je là serra dans mes bras et elle me souffla dans l'oreille "Je t'aime...", je lui répondis que moi aussi.
J'allais à l'école comme tous les vendredi, mais cette fois-ci il se passa quelque chose de bizarre, tous mes amis me prirent dans leurs bras et me dire que j'allais leur manquer. Le soir, la voiture était bien chargée, j'expliquais à ma mère ma journée bizarre quand, au bout d'un moment je me dis rendit compte que nous ne rentrions pas à la maison, mais allions je ne sais où. Je découvris longtemps après qu'il s'agissait de Brême, une ville au nord de l'Allemagne. Ma mère m'expliqua tout, une fois nos affaires installés dans la nouvelle maison.



Nous étions en réalité ruiné et notre maison allait être prit par un huissier un mois plus tard après notre départ et aller par la suite être venue aux enchères. Ma mère avait donc quitté mon père pour le laisser se débrouiller tout seul avec ses problèmes d'argent. Vidant la moitié du compte et ne me laissant pas lui dire au revoir. J'étais tout de même fâchée contre ma mère, elle ne me lui avait pas laissé lui dire au revoir. Et je ne savais même pas quand j'allais le revoir. Je ne mesurais pas tout de suite les conséquences de son acte. Ma mère c'était trouvé un petit boulot de serveuse dans un bar pour pouvoir subvenir à nos besoins. Un jour que je mettais engueulé avec ma mère, ce qui arrivait très rarement, j'avais fugué. Me laissant marcher toute seule dans la nuit, en jupe dans la Ville. Je n'avais jamais eu un très bon sens de l'orientation et là on pouvait vraiment le constater. Ça faisait déjà trois ans que nous étions arrivés dans la Ville, je ne connaissais toujours pas tous les petits recoins et je ne savais pas me situer. Je n'avais jamais eu peur du noir, je n'étais pas du genre peureuse. Je tombais soudain nez à nez avec un grand homme. Je ne distinguais pas tout de suite son visage, c'est seulement à la lumière que je vis que celui-ci m'était bien familier. Je laissais échappé, d'une voix faible "Papa...". Il me regarda et me serra dans ses bras, me disant que je lui avais manqué. Il me demanda ensuite si je pouvais accompagner chez maman.
Après être arrivé à la maison et après avoir pris un bon café, il me fit la bise. Je remarquais qu'il puait l'alcool et qu'il commençait à raconter n'importe quoi. Je le pris et l'installa sur le lit, dans la chambre d'amis pour qu'il se repose. Au moment où je m'apprêtais à sortir de la chambre, il me dit d'attendre et de revenir à lui. Il me souffla quelque chose à l'oreille "Tu me donnes envie de toi, petite coquine...". Ensuite tout se passa très vite. Il déchira mes vêtements et me tortura pendant 10 minutes. C'est 10 minutes me parurent être des heures. À la fin de ce supplice, il me regarda dans les yeux et dit "Camille...?" et il se leva d'un bon et partie en courant. Pendant ces dernières minutes, je me levais et mis juste un Tee-Shirt trop grand pour moi sur le dos pour ensuite aller m'asseoir dans la cuisine, par terre, avec la tête entre les bras. Ma mère rentra 30 minutes après. Quand elle me vit, elle couru à moi et me serra dans ses bras. Elle me demanda pourquoi je pleurais et je me contentais de dire "Papa est revenue bourré pendant ton absence...". Elle eut l'aire de comprendre tout de suite car elle me sera très fort et laissa échappé "Oh non ! Pas ça, il ne t'a pas fait ça à ma petite fille...". Je sais qu'elle avait envie de pleurer. Mais elle n'en fit pas. Elle se contenta de me lever et de m'accompagner dans ma chambre et me poser sur mon lit. Je sais que cette nuit là elle ne dormit pas, elle pleura une bonne partie de la nuit.



C'est seulement environ deux semaines après, alors que ma mère était au travail, que je vis une enveloppe sur la table. Celle-ci n'était pas encore fermé. Elle était pas pareille que celle que nous possédions en Allemagneet le timbre provenait de la Caroline du sud. Il y avait marqué dessus "Université de Clemson'". Je crus tout d'abord que celle-ci ne fût pas parvenue au bon destinataire, mais il y avait marqué au centre, en tout petit "Adressé à Mlle Noleyn". Je voulais attendre ma mère avant de l'ouvrir. Je fus finalement trop intriguée par cette lettre alors je l'ouvris. Je crus tout d'abord rêver. Ma mère m'avait inscrite dans une université en Caroline du Sud sans mon accord. Le pire c'est que cette lettre disait que j'étais accepté. Je pris le soin de m'asseoir et d'attendre le retour de ma mère pour lui en parler. Depuis deux semaines, j'avais des nausées matinal régulières et j'avais souvent mal au ventre. J'avais pris l'initiative de ne pas en parler à ma mère et d'acheter un test de grossesse. Je tombais dénue quand celui-ci fût positif. Deuxièmes chose à dire à ma mère. Je ne voulais pas de cette enfant ! Je n'en avais pas du tout envie ! Il ne me rappelait que de mauvais souvenirs.

Étant la capitaine des Cheerleaders, je fis une chute pendant un entrainement et je perdis le petit être qui me hanté toutes les nuits. Je pleurais pendant une semaine, car même si je n'en voulais pas parce qu'il venait de mon père, c'était tout de même un être vivant.

Finalement je n'avais pas rêvé, on ne c'était pas trompé de destinataire et c'était bien une université ou ma mère avait décidé de m'envoyer. C'est à la rentrée suivante que j'y arrivais et que je pus constater qu'elle était immense et magnifique. Et voilà, 265 jours cloîtré dans cet endroit, avec pour seul remède, les vacances pour rentre chez moi et voir mon horrible mère qui veut se débarrasser de moi. Plus qu'à attendre la fin de l'année pour sortir de cette prison. En attendant, je verrais bien ce qui m'arriverait. Si j'allais me faire des amis, passer du statut "célibataire" à "en couple" et si j'allais me faire des ennemies...